Avec 50 km de rivage, la Destination Royan Atlantique offre un cadre parfait pour des vacances à la mer en Charente-Maritime. Les 34 plages de notre littoral permettent de profiter aussi bien de la baignade, de la balade ou des activités nautiques.

De Meschers-sur-Gironde à Saint-Palais-sur-Mer, le paysage est marqué par l’alternance de baies appelées « conches » et de falaises rocheuses. À l’inverse, les plages confinées de l’estuaire de la Gironde, les plages océaniques des Mathes et de La Tremblade ouvrent sur un cadre plus sauvage avec de vastes espaces dunaires bordés par les pins faisant face à l’océan l’Atlantique. Chaque plage a son caractère et son ambiance. Elles offrent un cadre privilégié pour la pratique de nombreux sports de plage. Certaines, moins connues, se méritent…

Des plages urbaines

La plage urbaine est une part essentielle de l’identité des stations balnéaires du pays royannais. Située à proximité du centre-ville, elle est alors souvent cintrée entre deux zones rocheuses. En toile de fond, les villas du bord de mer l’encerclent comme pour mieux la protéger.

Sa forme rappelant celle d’un coquillage, on lui donne alors, le nom de conche.

Conviviale par excellence, elle est le repaire des familles et des habitués. Les enfants jouent tranquillement sur le sable, barbotent dans l’eau et profitent aussi des nombreuses activités proposées. La plage urbaine rassure les parents et également les grands-parents. Entre les conches, le littoral invite à la balade, qu’elle soit pédestre ou à vélo. Le promeneur alterne entre la Grande Conche de Royan, la plage du Conseil, beaucoup plus discrète ou encore Pontaillac, qui s’anime au soleil couchant.

Des Plages naturelles

Similaire à sa sœur urbaine, la plage naturelle voit les falaises calcaires et les forêts remplacer les rochers et les villas. Parfois dissimulée depuis la route, il faut s’y rendre à travers les pins. La rumeur de la ville disparaît ainsi au profit du murmure des vagues et du souffle du vent. Pour les plus secrètes, il faut même être dans la confidence : connaître l’escalier pour y accéder ou attendre la marée basse. Une fois installé, on se sent enfin isolé, protégé. La plage naturelle n’oublie pas le confort : elle peut être surveillée et/ou équipée.

On n’est pas pressé de partir. Pourquoi ne pas se poser en terrasse d’un bar ou d’un restaurant ? Et y rester jusqu’au bout de la nuit…

Thierry Avan

Plage naturelle de Suzac à Saint-Georges-de-Didonne

Mais aussi des plages sauvages

Faisant face à l’immensité de l’océan Atlantique, la plage sauvage, aidée des grands vents, tapisse son sable fin à perte de vue. De plage en plage, c’est une véritable côte sauvage qui s’étend sur plus de vingt kilomètres. Ici, pas ou peu de construction humaine. Il y a, de-ci de-là, quelques blockhaus témoignant du Mur de l’Atlantique. Et aussi, le phare de La Coubre qui domine ce paysage unique. La forêt du même nom surplombe et fixe les dunes, rôle également joué mais à plus petite échelle par l’oyat. Ici, on est ailleurs. Ici, règnent les grands espaces. Plus que face à la mer, on se retrouve face à soi-même…

Pour les baigneurs, la prudence est de mise. Il faut nager à proximité des postes de secours car les courants dus aux baïnes sont très puissants.

Découvrir nos 34 plages

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